Avant toutes choses, je précise que les idées et infos qui suivent peuvent être modifiées sur le long terme, voir retirées totalement du récit.

De même qu'il est possible que l’histoire dérive des idées de départ...

• 4/10/2020

Un projet parallèle sur lequel je ne m'étendrai pas énormément...

Mais alors "Pensées à la Lettre", c'est quoi???

Cette collection se veut la petite sœur des "Récits de Plume", à savoir une suite de recueils.

Mais là où Pensées à la Lettre se démarque, c'est qu'il s'agit d'une compilation de phrases courtes, de pensées, de remarques, et non pas de nouvelles scénarisées...

La mise en page du livre est, elle aussi, représentative de l'état d'esprit qui s'en dégage: déstructurée et entremêlée, mais en gardant toujours une organisation alphabétique!

D'où le titre "... à la Lettre".

Les phrases qui composent cet ouvrage se veulent de styles multiples.

Le plus souvent humoristiques, on peut y voir aussi de la philosophie, de la réflexion, de la vulgarité, du trash, de l'horreur, certaines citations de mes autres ouvrages, et des remarques plus personnelles...

Attention toutefois à ne pas vous laisser perturber par le niveau de vulgarité qui compose par moment certaines phrases...

Le premier volume de "Pensées à la Lettre" sera disponible immédiatement après la parution de "Les Blanches-Dents 1"!

UN PETIT FLORILÈGE?

"Peut-on suggérer à un malade atteint du VIH de rester positif...?"

"Les gamins de Tchernobyl ont pris la grosse tête...!"

"Quand un diabétique est incinéré, est-ce que ça fait du caramel...?"

"Ma tentative de perte de poids a fait un bide..."

"L'Europe est un continent. Mon grand-père aussi..."

"Être au bout du rouleau, c'est encore pire quand on est aux chiottes...!"

"Les anorexiques, on en a vite fait le tour..."

"Que tous les exhibitionnistes aillent se faire voir...!"

"Quelle ironie de la vie que de s'appeler Dutroux et d'aimer creuser..."

• 12/09/2016

Un projet sur lequel que j'ai voulu au départ rester relativement discret, voilà que je vous présente aujourd'hui mon mystérieux nouveau roman, "Les Blanches-Dents", écrit en parallèle à "La dernière nuit" (à découvrir plus bas)...!

Mais qu'est ce que c'est que ce truc?

Tout d'abord, imaginez-vous dans l’Angleterre du 19eme siècle...

Imaginez la brume, les lampes à gaz, et la pénombre... Jack l'éventreur n'a pas encore assouvi sa soif de sang... L'ambiance est lourde, il fait froid, et la lune peine à transpercer les nuages...

La lune. La Pleine lune même...

Vous y êtes? Bien.

Maintenant, penchons-nous sur diverses légendes et mythes de toutes civilisations. Le Vironsusi finlandais par exemple, les Wendigos américains, le Mélion britannique, les Pricolicis roumains, et tant d'autres... Peut-être que ça ne vous parle pas?

Et si je vous dis: les "Loups-Garous"?

Voooilà...

Et oui, ces satanées bestioles poilues, c'est ça le sujet de ce roman!

Pourquoi "Les Blanches-Dents"?:

Une fourrure sombre comme la nuit, des yeux noirs, des griffes ébènes... Et tout cela contraste avec quoi? Une mâchoire à la pâleur immaculée! Des crocs clairs comme la neige! Bref: "Les Blanches-Dents"...!!!

D'accord, mais qu'est ce qu'il se passe là-dedans?

James Caine, notre héros, fraichement mordu, n'a qu'un choix à faire...

Et quel choix!!!

Quand ce mystérieux vieil homme barbu lui propose de demeurer ainsi, à cheval entre deux espèces, et traqué comme la bête qui lui a prit son humanité, ou de rallier sa cause, sa lutte contre les Blanches-Dents, usant par là-même de l’aubaine que représentent les nouveaux pouvoirs de James, voilà le choix en question...

Et James a choisi...

Et vous pourrez en savoir plus quand ce nouveau livre se tiendra entre vos mains... ;-)

Tous ce que je peux vous dire, c'est que près de 60 pages ont déjà fleuri sur mon ordinateur!

Donc patience...

Et pour la petite histoire: Ce ne devait être qu'un texte écrit pour "passer le temps"... Mais les retours enthousiastes des lecteurs des premiers chapitres m'ont convaincu de mener à terme l'écriture de ce nouveau roman!!!

Plus d’infos bientôt sur LaPlumeSombre...

• 5/11/2013

Un changement d’orientation littéraire s’est opéré dans mes projets actuels…

En effet, moi qui souhaitais reprendre un de mes anciens récits de jeunesse, dont vous pourrez lire la description ainsi que quelques anecdotes un peu plus bas, j’ai été dévié de mes idées d’aventures héroïques de fantasy, pour me rapprocher d’un sujet radicalement différent.

Oubliez les univers irréels, malsains et fantastiques à la violence exacerbée et "dégoulinante" de Journal de mort pour plonger dans l’intrigue de "La dernière nuit" (le titre n’est pas encore définitif, mais colle bien au sujet…)

J’ai voulu ici me rapprocher d’un contexte réaliste, notamment dans les lieux et villes cités dans l’aventure (ce qui demande beaucoup de recherches et documentations), pour y mêler des événements imagés de fantastiques, à une échelle "apocalyptique" !!!

En effet, Apocalypse serait le mot qui illustrerait le mieux La dernière nuit…

L’histoire nous raconte la rencontre de cinq hommes, passionnés de science, réunit autour d’un secret, observant l’arrivée imminente sur terre des Titans, créatures aux pouvoirs inimaginables et destructeurs engagées dans une lutte fratricide colossale et titanesque, dont la force pourrait notamment bien être à l’origine de l’extinction des dinosaures... Ces cinq hommes, murés par l’observation en retrait de la fin du monde perpétrée par les Titans qui s'étaient eux même attribués  la terre comme champs de bataille, contempleront en silence la chute de notre planète, pendant les sept jours restants à vivre à l’humanité, avant le grand final… la dernière nuit…!

Pour la petite histoire...

Une idée, assez curieuse je dois l’avouer, trottait dans ma tête depuis un certain temps…

C’est en "dévorant" films sur films (obsession pour le cinéma oblige !) que se forgeait dans mon désir de création de récits une vision d'une œuvre littéraire portant sur la puissance démesurée, menant à une fin radicale!!!

Mais aussi, en rédigeant certaines scènes de Journal de Mort, j’eus la sensation d’un manque...

Premièrement au niveau de l’envergure : par moment, il me manquait une impression de puissance chez les ennemies du héros… ! Cela me paraissait presque étouffant ! Je voulais du grand ! Du fort ! Des scènes de destructions par des créatures titanesques…

Titanesques ?

Le combat final de Journal de mort, bien qu’assez proche de cette attente, ne satisfaisait pas totalement mon envie…

Deuxièmement, je voulais de la surenchère : de l’extinction d’une espèce entière à l’anéantissement d’une planète, pourquoi pas???

Troisièmement, je voulais un contexte réaliste, identifiable à tous, où les personnages pourraient vivre dans des lieux réels, évoluer dans des villes de notre monde, voir des choses n’existant pas que dans un imaginaire créé de toutes pièces, ce que je regrettais dans mes précédents récits… Même si, il faut bien l'admettre, faire évoluer ses héros dans un monde illusoire peut peut-être exiger une bonne dose d'imagination supplémentaire, le travail s'en trouve grandement réduit, le récit n'exigeant à aucun moment la documentation, les recherches ou encore les contraintes spatiales, temporelles voir même historiques...!

Et enfin, quatrièmement, je voulais plus que tout, et pour laisser ma "marque de fabrique", dépeindre une atmosphère de mystère, de silence, de peur, d’observation malsaine… Je voulais (à nouveau!) déranger le lecteur, le déstabiliser quand aux choix que lui pourrait avoir à faire dans une telle situation, le faire réfléchir...! Je voulais plus que tout que mes personnages choisissent la voie de la soumission confortable face à la puissance, plutôt que le courage "hollywoodien…" !!!

Je pourrais peut être ajouter que je cherchais un concept teinté d’une ambiance religieuse ou mystique, renvoyant le lecteur à une sorte d’apocalypse biblique lointaine sans pour autant qu’il ne fasse un lien évident entre tout cela et l’histoire de La dernière nuit…

Sans trop vous révéler les grandes lignes du récit, il est à noter que la soumission du premier Titan, puisqu’il s’agit bien ici des grands "super super SUPER méchants" du livre, m’a fait curieusement penser à celle d’un psychopathe, enfermé dans une cellule de la taille du forteresse redoublant de systèmes de sécurité inimaginables...!!! Ce dernier, destiné à l’observation scientifique malsaine de chercheurs prêt à tout, tandis qu’il devient de plus en plus docile, verrait son existence dériver vers celle d'un rat de laboratoire expérimentale dont l'esprit devient progressivement malléable face à une friandise, après avoir servit de cobaye subissant les pires atrocités…

jusqu’au jour où……

Hop, je m’arrête là !

Alors, pour ceux qui ne participeront pas à la relecture progressive, et par conséquent ne liront le livre qu’une fois celui-ci terminé (puisque je ne songe pas diviser l’histoire en plusieurs parties !), et même si quelques extraits voleront par ci par là, rendez-vous, je l’espère, dans quelques mois si tout se passe bien…

(Les premiers extraits seront bientôt disponibles sur La plume sombre et sur facebook (morgan.ailloud@facebook.com))

• 20/11/2012

Prochainement, le premier volume de la trilogie"Le fils d'Héméris" intitulé la créature au masque de sang sera disponible, rapidement suivi, je l’espère, par sa suite et sa conclusion La chute et Le dernier espoir…

Pour la petite histoire...
 

Cette trilogie fut ma première série "terminée"…

En effet, lorsque j’étais plus jeune, j’ai décidé à maintes reprises d’écrire une histoire "du début à la fin" sans jamais y parvenir. Puis vers l’âge de 15 ans, une idée, inspirée par mes modèles de l’époque, me poussa à imaginer le récit d’une guerre entre deux peuples ennemis de longues dates. Bien évidement, à cet âge, les idées de récits fantastiques ne laissent place qu’à des batailles entres les gentils et les méchants, tout en copiant discrètement les trames narratives des "maitres" du cinéma et de l’écriture.

Mais l’envie d’imaginer une fin inattendue m’a toujours retourné l’esprit…

Et trois ans plus tard, cette fin était couchée sur le papier, prête à se laisser durer avec deux suites ! Au total, cinq ans ont été nécessaires pour venir à bout du Fils d’Héméris !

Puis, plusieurs années plus tard, en relisant le manuscrit, je pris conscience du caractère "enfantin" du style… Alors je me dis que ce texte mériterait d’être retouché. Mais vers 21 ans, une autre idée, relatant le voyage vers la mort d’un homme odieux, me détourna du Fils d’Héméris…

Et pour conclure, lorsque l'envie me viendra, ou peut-être bien après, j’aurais le plaisir de vous faire partager les aventures des héros de cette trilogie qui occupa ma jeunesse…

Voici déjà une ébauche de la quatrième de couverture du Fils d'Héméris:

"D’abord, il y a la terre d’Iris, scindée en deux. D’un côté, le pays Antarien et ses hommes, de l’autre, les terres noires, peuplées de siolènes. Deux clans déchirés par une guerre violente et sans pitié… Et puis il y a Lylo, un jeune garçon perdu au milieu du conflit. Très vite, le destin le conduira à quitter son village dévasté et à rencontrer Ermès, le fils d’Héméris. Ensembles, ils devront fuir tout en cherchant à comprendre pourquoi le jeune homme est recherché par les siolènes. Et plus particulièrement par leur dirigeant, le mystérieux Eradès, la créature au masque de sang…

Voici le premier tome de la trilogie "le fils d’Héméris", intitulé "la créature au masque de sang". Construite sur les bases des récits de fantasy, cette série évite pourtant de tomber dans les stéréotypes du genre. Ainsi, vous ne trouverez pas ici d’élus, d’elfes ou de prophétie à accomplir. Mais plus simplement, une aventure épique avec pour toile de fond une guerre incessante et violente.

Aiguisez vos épées, car la guerre pour les terres d’Iris commence…"